Massacre de Srebrenica
C’est le dixième anniversaire de ce qui est convenu d’appeler le massacre de Srebrenica où les troupes Serbes ont été accusées d’avoir tué 8000 hommes et garçons musulmans de cette ville bosniaque.
Mais ici à La Levée on ne se contente pas de simplement vous répétez les sornettes lancées partout dans les médias de masse, non monsieur! On s’arrange toujours pour gratter le vernie du discours officiel pour voir ce qui s’y cache derrière.
Et dans le cas de Srebrenica, la prudence et l’analyse intelligente sont de mise.
C’est une chose qui, comme vous allez voir dans quelques instants, a fait cruellement défaut depuis juillet 1995!
Ce qu’il faut avant tout comprendre c’est que l’OTAN, l’organisation militaire dont fait partie le Canada et les États-Unis, avait besoin d’une raison valable de bombarder allègrement ce qu’il restait de la Yougoslavie…et Srebrenica était l’appât idéal pour faire avaler la pilule d’une agression illégitime contre la Serbie.
Des Bosniaques musulmans, des hauts placés de leur armée, ont avoué que l’entourage de Bill Clinton leur avait dit que Washington ne pouvait pas les aider dans leur conflit contre les Serbes tant qu’ils ne réussiraient pas à prouver que les Serbes ont massacré au moins 5000 personnes.
Srebrenica, avec son taux fictif de 8000, patenté par les Bosniaques musulmans, le tribunal criminel international pour l’ancienne Yougoslavie et les médias ont fait le reste pour vendre l’histoire.
Edward S. Herman est un professeur émérite en finance à l’université de Pennsylvanie, un économiste et un analyste des médias…Il a entre autre écrit Manufacturing Consent avec Noam Chomsky.
Monsieur Herman a écrit un article exhaustif sur le massacre de Srebrenica qui nous permet d’ouvrir un peu nos yeux sur les manières que les médias de masse et les gouvernements nous manipulent lorsque vient le temps de faire des choses pas trop correct, comme de nous faire croire que le peuple Serbe est incarné du diable et que c’est correct de les bombarder comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Srebrenica est donc devenu le symbole du mal incarné, plus spécifiquement le symbole de la diablesse des Serbes.
Le massacre aurait eu lieu entre le 10 et le 19 juillet 1995 lorsque l’armée serbe de Bosnie a occupé la ville musulmane.
On accuse donc les Serbes d’avoir exécuté de sang froid 8000 hommes et garçons musulmans après les avoirs séparé des femmes et des filles.
En vérité, l’armée serbe avait évacué les femmes de la ville avant que les combats commencent, et encore aujourd’hui, on n’est pas en mesure de dire combien de victimes sont mortes au combat et combien ont été exécutées.
En fait, des preuves indiquent que 5000 hommes et garçons ont été laissés libre de fuir la ville parce qu’on savait qu’ils n’avaient rien à faire dans le conflit militaire.
Sauf qu’encore aujourd’hui, on compte ces rescapés parmi les 8000 massacrés à Srebrenica, l’événement ayant le plus contribué à la propagande pro-OTAN entourant les guerres des Balkans.
Le taux véritable de morts musulmans de Srebrenica serait donc de 2000, quatre fois moins, et non pas 2000 exécutés, mais plus ou moins 2000 décédés pendant un combat militaire.
On avait droit à un conflit militaire en Ex-Yougoslavie à l’époque et personne n’était propre; des preuves bétons existent pour démontrer que les Musulmans bosniaques (aidés par Ben Laden, entre autres) et les Croates ont causé autant sinon plus de crimes haineux que les Serbes durant le conflit.
Mais dans les médias de masse, il n’y avait que de la place pour la brutalité serbe et le reste demeurait en angle mort.
C’est important de rappeler que des recherches exhaustives n’ont toujours pas démontré le chiffre de 8000 exécutés. On n’a toujours pas trouvé les corps, ni aucune photo satellite démontrant les exécutions ou des déplacements de cadavres.
Mais il y a eu un autre massacre — de Serbes cette fois-ci — par des Croates, qui a vraiment eu lieu et qui n’a jamais attiré l’attention de l’OTAN et des médias de masse :
le massacre de 250 000 Serbes dans la ville de Krajina, en Croatie, une tragédie qui ne servait pas la cause de l’OTAN, alors on a choisi de ne tout simplement pas en parler…jusqu’à ce jour !
Et encore aujourd’hui, on commémore le faux massacre de Srebrenica, dix ans plus tard, histoire de justifier dans notre conscience collective les bombardements contre les Serbes, un peuple qui évoque toujours l’incarnation du diable…fort injustement.
C’est le dixième anniversaire de ce qui est convenu d’appeler le massacre de Srebrenica où les troupes Serbes ont été accusées d’avoir tué 8000 hommes et garçons musulmans de cette ville bosniaque.
Mais ici à La Levée on ne se contente pas de simplement vous répétez les sornettes lancées partout dans les médias de masse, non monsieur! On s’arrange toujours pour gratter le vernie du discours officiel pour voir ce qui s’y cache derrière.
Et dans le cas de Srebrenica, la prudence et l’analyse intelligente sont de mise.
C’est une chose qui, comme vous allez voir dans quelques instants, a fait cruellement défaut depuis juillet 1995!
Ce qu’il faut avant tout comprendre c’est que l’OTAN, l’organisation militaire dont fait partie le Canada et les États-Unis, avait besoin d’une raison valable de bombarder allègrement ce qu’il restait de la Yougoslavie…et Srebrenica était l’appât idéal pour faire avaler la pilule d’une agression illégitime contre la Serbie.
Des Bosniaques musulmans, des hauts placés de leur armée, ont avoué que l’entourage de Bill Clinton leur avait dit que Washington ne pouvait pas les aider dans leur conflit contre les Serbes tant qu’ils ne réussiraient pas à prouver que les Serbes ont massacré au moins 5000 personnes.
Srebrenica, avec son taux fictif de 8000, patenté par les Bosniaques musulmans, le tribunal criminel international pour l’ancienne Yougoslavie et les médias ont fait le reste pour vendre l’histoire.
Edward S. Herman est un professeur émérite en finance à l’université de Pennsylvanie, un économiste et un analyste des médias…Il a entre autre écrit Manufacturing Consent avec Noam Chomsky.
Monsieur Herman a écrit un article exhaustif sur le massacre de Srebrenica qui nous permet d’ouvrir un peu nos yeux sur les manières que les médias de masse et les gouvernements nous manipulent lorsque vient le temps de faire des choses pas trop correct, comme de nous faire croire que le peuple Serbe est incarné du diable et que c’est correct de les bombarder comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Srebrenica est donc devenu le symbole du mal incarné, plus spécifiquement le symbole de la diablesse des Serbes.
Le massacre aurait eu lieu entre le 10 et le 19 juillet 1995 lorsque l’armée serbe de Bosnie a occupé la ville musulmane.
On accuse donc les Serbes d’avoir exécuté de sang froid 8000 hommes et garçons musulmans après les avoirs séparé des femmes et des filles.
En vérité, l’armée serbe avait évacué les femmes de la ville avant que les combats commencent, et encore aujourd’hui, on n’est pas en mesure de dire combien de victimes sont mortes au combat et combien ont été exécutées.
En fait, des preuves indiquent que 5000 hommes et garçons ont été laissés libre de fuir la ville parce qu’on savait qu’ils n’avaient rien à faire dans le conflit militaire.
Sauf qu’encore aujourd’hui, on compte ces rescapés parmi les 8000 massacrés à Srebrenica, l’événement ayant le plus contribué à la propagande pro-OTAN entourant les guerres des Balkans.
Le taux véritable de morts musulmans de Srebrenica serait donc de 2000, quatre fois moins, et non pas 2000 exécutés, mais plus ou moins 2000 décédés pendant un combat militaire.
On avait droit à un conflit militaire en Ex-Yougoslavie à l’époque et personne n’était propre; des preuves bétons existent pour démontrer que les Musulmans bosniaques (aidés par Ben Laden, entre autres) et les Croates ont causé autant sinon plus de crimes haineux que les Serbes durant le conflit.
Mais dans les médias de masse, il n’y avait que de la place pour la brutalité serbe et le reste demeurait en angle mort.
C’est important de rappeler que des recherches exhaustives n’ont toujours pas démontré le chiffre de 8000 exécutés. On n’a toujours pas trouvé les corps, ni aucune photo satellite démontrant les exécutions ou des déplacements de cadavres.
Mais il y a eu un autre massacre — de Serbes cette fois-ci — par des Croates, qui a vraiment eu lieu et qui n’a jamais attiré l’attention de l’OTAN et des médias de masse :
le massacre de 250 000 Serbes dans la ville de Krajina, en Croatie, une tragédie qui ne servait pas la cause de l’OTAN, alors on a choisi de ne tout simplement pas en parler…jusqu’à ce jour !
Et encore aujourd’hui, on commémore le faux massacre de Srebrenica, dix ans plus tard, histoire de justifier dans notre conscience collective les bombardements contre les Serbes, un peuple qui évoque toujours l’incarnation du diable…fort injustement.
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