La compagnie minière du Canada Barrick Gold fondra les glaciers du Chili
Des foules de manifestants ont crié leur mécontentement le 4 juin dernier contre le géant minier canadien Barrick Gold dans les rues de Santiago, au Chili.
C’était en réponse au projet gigantesque d’une mine à ciel ouvert à Pascua Lama, en bordure du Chili et de l’Argentine.
Barrick Gold est une transnationale puissante qui planifie d’extraire 500 milles kilogrammes d’or — en plus de l’argent, du mercure et du cuivre — du site de Pascua Lama au cours des 20 prochaines années...un investissement de 1,5M$.
Mais avant d’extraire tout cet or, Barrick compte déplacer trois glaciers géants des Andes.
La compagnie espère déplacer les glaciers sur d’autres surfaces comparables en les poussant à rencontrer le glacier plus gros de Guanaco.
Évidemment, ceux qui ont l’environnement et la santé des populations avoisinantes à cœur s’inquiète de l’impact sur les sources d’eau dû aux déplacements des glaciers.
La mine Pascua Lama sera décapée par du cyanure, question de séparer l’or du reste du minerai le plus rapidement possible.
Le problème avec ça c’est que le cyanure est un composé chimique qui, même en de très petites quantités, est extrêmement toxique pour les humains et les autres formes de vie.
Ailleurs dans le monde où on a utilisé ce procédé on a eu droit à des catastrophes écologiques…et pourquoi, dans le fond ?
Une rareté, l’or, qui existe en quantités suffisantes dans les banques centrales et au FMI pour subvenir à tout nos besoins pour des dizaines d’années, mais les compagnies minières, telles que Barrick, utilisent leur influence pour qu’on laisse dormir cet or-là dans des coffres-forts pendant qu’eux bombardent des glaciers et saupoudre des écosystèmes de cyanure pour garnir les poches de leurs actionnaires…
Alors en plus de fondre une bonne partie des glaciers en les déplaçant, ce qui est certain d’affecter l’équilibre écologique en aval, on va perdre une quantité phénoménale de connaissances environnementales.
Les glaciers sur les Andes ont conservé des traces de la faune et la flore reculant sur des milliers d’années.
Il y a en plus les dangers liés directement au site de construction et d’exploitation à Pascua Lama : selon quelques sources on dit qu’il y a déjà eu 15 morts liés au projet de Barrick.
Bien sûr, si on va sur le site Internet de Barrick ils diront qu’ils sont une entreprise responsable et soucieux de l’environnement et blablabla…bien sûr, c’est le rôle du département de marketing de faire avaler l’inacceptable au public.
Je préfère plutôt me fier aux Chiliens qui sont contre le projet (et qui subiront les conséquences) et les groupes écologistes qui connaissent les pratiques d’entreprises comme Barrick partout sur Terre et qui savent les dégâts qu’ils sont capable de causer…tout en gardant une belle image publique!
Barrick Gold s’attend à ce que son projet à Pascua Lama soit accepté d’ici la fin de l’année, pendant ce temps-là l’opposition à celui-ci ne cesse de grandir et c’est tant mieux!
C’était en réponse au projet gigantesque d’une mine à ciel ouvert à Pascua Lama, en bordure du Chili et de l’Argentine.
Barrick Gold est une transnationale puissante qui planifie d’extraire 500 milles kilogrammes d’or — en plus de l’argent, du mercure et du cuivre — du site de Pascua Lama au cours des 20 prochaines années...un investissement de 1,5M$.
Mais avant d’extraire tout cet or, Barrick compte déplacer trois glaciers géants des Andes.
La compagnie espère déplacer les glaciers sur d’autres surfaces comparables en les poussant à rencontrer le glacier plus gros de Guanaco.
Évidemment, ceux qui ont l’environnement et la santé des populations avoisinantes à cœur s’inquiète de l’impact sur les sources d’eau dû aux déplacements des glaciers.
La mine Pascua Lama sera décapée par du cyanure, question de séparer l’or du reste du minerai le plus rapidement possible.
Le problème avec ça c’est que le cyanure est un composé chimique qui, même en de très petites quantités, est extrêmement toxique pour les humains et les autres formes de vie.
Ailleurs dans le monde où on a utilisé ce procédé on a eu droit à des catastrophes écologiques…et pourquoi, dans le fond ?
Une rareté, l’or, qui existe en quantités suffisantes dans les banques centrales et au FMI pour subvenir à tout nos besoins pour des dizaines d’années, mais les compagnies minières, telles que Barrick, utilisent leur influence pour qu’on laisse dormir cet or-là dans des coffres-forts pendant qu’eux bombardent des glaciers et saupoudre des écosystèmes de cyanure pour garnir les poches de leurs actionnaires…
Alors en plus de fondre une bonne partie des glaciers en les déplaçant, ce qui est certain d’affecter l’équilibre écologique en aval, on va perdre une quantité phénoménale de connaissances environnementales.
Les glaciers sur les Andes ont conservé des traces de la faune et la flore reculant sur des milliers d’années.
Il y a en plus les dangers liés directement au site de construction et d’exploitation à Pascua Lama : selon quelques sources on dit qu’il y a déjà eu 15 morts liés au projet de Barrick.
Bien sûr, si on va sur le site Internet de Barrick ils diront qu’ils sont une entreprise responsable et soucieux de l’environnement et blablabla…bien sûr, c’est le rôle du département de marketing de faire avaler l’inacceptable au public.
Je préfère plutôt me fier aux Chiliens qui sont contre le projet (et qui subiront les conséquences) et les groupes écologistes qui connaissent les pratiques d’entreprises comme Barrick partout sur Terre et qui savent les dégâts qu’ils sont capable de causer…tout en gardant une belle image publique!
Barrick Gold s’attend à ce que son projet à Pascua Lama soit accepté d’ici la fin de l’année, pendant ce temps-là l’opposition à celui-ci ne cesse de grandir et c’est tant mieux!
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