Immigration au Canada : émigration de cerveaux
Paraîtrait que le gouvernement fédéral s’apprête à ouvrir les portes à l’immigration pour l’augmenter à 300 000 personnes l’année prochaine.
Les Canadiens en général sont favorables à l’immigration à un niveau de 73% ce qui est beaucoup par rapport à 42% aux ÉU.
Il n’y a bien sûr rien de mal avec l’immigration surtout pour un vaste pays comme le nôtre, mais ça serait important de comprendre ce qui pousse autant de gens à quitter leur pays d’origine.
Notre besoin en immigrants est stimulé par les politiques économiques des Libéraux qui provoquent la chute en fertilité des Canadiens…nous sommes au plus bas niveau de notre histoire avec un taux de 1,5.
La globalisation financière fait en sorte que l’ensemble des emplois de la planète sont dévalorisés…depuis 15 ans on assiste à une véritable course vers le bas.
Nos salaires et conditions de travaillent en subissent les pressions et la main-d’œuvre canadienne est hautement stressée : en 1992 38% des travailleurs se disaient hautement stressés.
En 2002 ce taux est passé à 55%…selon le National Work-life Study la vie familiale n’existe pratiquement pas et de plus en plus de famille repoussent leurs plans d’avoir des enfants.
La chute de natalité est une conséquence directe de 30 ans de politique néo-libérale.
Avant on visait le plein emplois avec de hauts salaires et on assumait que l’économie devait servir avant tout les intérêt de la société.
La logique néo-libérale veut que les travailleurs s’épuisent que les familles soient vulnérables et que l’État se retire de nos vies.
On ne parle plus bien sûr de plein emploi et le Canada a le deuxième plus haut taux d’emplois à bas salaire de l’OCDE, le groupe de la vingtaine de pays les plus riches.
Pendant que l’on épuise la main-d’œuvre canadienne, la BM et le FMI imposent des politiques sur les pays pauvres qui font en sorte qu’ils ne sont plus en mesure de payer leur élite universitaire.
Beaucoup de ces gens-là finissent par faire le choix déchirant de quitter leur pays natal, forcer de quitter leur patrie à cause de la course globale vers le bas.
Même si on est très favorables à l’immigration faudrait être conscient des facteurs qui font en sorte qu’autant de personnes doivent quitter leur pays pour venir ici.
Paraîtrait que le gouvernement fédéral s’apprête à ouvrir les portes à l’immigration pour l’augmenter à 300 000 personnes l’année prochaine.
Les Canadiens en général sont favorables à l’immigration à un niveau de 73% ce qui est beaucoup par rapport à 42% aux ÉU.
Il n’y a bien sûr rien de mal avec l’immigration surtout pour un vaste pays comme le nôtre, mais ça serait important de comprendre ce qui pousse autant de gens à quitter leur pays d’origine.
Notre besoin en immigrants est stimulé par les politiques économiques des Libéraux qui provoquent la chute en fertilité des Canadiens…nous sommes au plus bas niveau de notre histoire avec un taux de 1,5.
La globalisation financière fait en sorte que l’ensemble des emplois de la planète sont dévalorisés…depuis 15 ans on assiste à une véritable course vers le bas.
Nos salaires et conditions de travaillent en subissent les pressions et la main-d’œuvre canadienne est hautement stressée : en 1992 38% des travailleurs se disaient hautement stressés.
En 2002 ce taux est passé à 55%…selon le National Work-life Study la vie familiale n’existe pratiquement pas et de plus en plus de famille repoussent leurs plans d’avoir des enfants.
La chute de natalité est une conséquence directe de 30 ans de politique néo-libérale.
Avant on visait le plein emplois avec de hauts salaires et on assumait que l’économie devait servir avant tout les intérêt de la société.
La logique néo-libérale veut que les travailleurs s’épuisent que les familles soient vulnérables et que l’État se retire de nos vies.
On ne parle plus bien sûr de plein emploi et le Canada a le deuxième plus haut taux d’emplois à bas salaire de l’OCDE, le groupe de la vingtaine de pays les plus riches.
Pendant que l’on épuise la main-d’œuvre canadienne, la BM et le FMI imposent des politiques sur les pays pauvres qui font en sorte qu’ils ne sont plus en mesure de payer leur élite universitaire.
Beaucoup de ces gens-là finissent par faire le choix déchirant de quitter leur pays natal, forcer de quitter leur patrie à cause de la course globale vers le bas.
Même si on est très favorables à l’immigration faudrait être conscient des facteurs qui font en sorte qu’autant de personnes doivent quitter leur pays pour venir ici.
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