Freeware : exemple de développement durable
Pourquoi remplir les poches des grosses entreprises comme Microsoft alors qu’il est possible de se procurer les programmes informatiques que vous avez besoin tout à fait gratuitement?
Même beaucoup d’écrivains et d’activistes anti-globalisation utilisent pour la plupart Microsoft Explorer pour naviguer sur Internet.
En fait, c’est 90% des ordinateurs qui sont pré-programmé avec Explorer.
Alors lorsque vous acheter votre PC une partie des coûts vont dans le porte-feuille de Bill Gates.
Pourtant, on peut se procurer des programmes de navigation comme Firefox gratuitement et, en plus, tout le monde s’entend pour dire que ce système est plus efficace que celui de Microsoft.
Il y a OpenOffice, l’alternative au Office de Windows a été téléchargé gratuitement 50 millions de fois et c’est, aussi, un système supérieur à ses rivaux coûteux.
Alors nous sommes peut-être à l’aube des systèmes informatiques ouverts, les open source software.
Il y a encore quelques disputes sur la terminologie, certains préfèrent le terme logiciel gratuit et d’autres logiciel libre : mais en somme ces sources de logiciel sont basés sur deux principes :
Les paquets d’information doivent être gratuits à l’utilisation, quoique la vente de produits et services alliés sont tolérés;
Firefox est fourni par Mozilla qui en retour génère des fonds à partir de dons à la fondation Mozilla et grâce à son travail dans les entreprises.
Le deuxième principe du logiciel ouvert c’est la production participative.
Les individus sont donc encouragés à changer et à adapter les produits…un principe à la base même du développement d’Internet.
Pendant que Bill Gates est probablement l’homme le plus riche de la planète, sa fortune provient d’une toile qui a été crée gratuitement.
Et là les économistes orthodoxes ont du mal à intégrer les sources de logiciels libres dans leur calculs…Rappelons que selon eux l’avarice est une bonne chose!
Expliquer pourquoi des choses sont faites gratuitement c’est assez difficile pour une discipline où on a toujours insisté pour dire que les humains ne sont motivés que par le gain matériel…
Avec les sources ouvertes les gens semblent se satisfaire de produire des choses juste parce que c’est satisfaisant.
Ce partage social démontre bien qu’il est possible d’échanger à l’extérieur des institutions du marché et de l’état.
Il y a des implications progressives aussi.
Le marché est basé sur le principe de la conversion de choses qui était auparavant gratuites et que l’on a converti en commodités payables.
Un très bon exemple est l’intention des géants de l’agro-business de prendre possession du marché des semences…de transformer une ressource gratuite que les fermiers se partageaient en objet à profits.
Donc contre les sources de logiciels libre il existe des entreprises qui enferme du code de programmation dans leur boîte à propriété intellectuelle.
Les sources de logiciels libres ou gratuits défi cette approche et nous ramène à la propriété commune.
D’autant plus que le partage et la communauté peut faire en sorte que non seulement le produit va durer, mais qu’il s’améliorera avec la contribution participative de passionnés.
Pourquoi remplir les poches des grosses entreprises comme Microsoft alors qu’il est possible de se procurer les programmes informatiques que vous avez besoin tout à fait gratuitement?
Même beaucoup d’écrivains et d’activistes anti-globalisation utilisent pour la plupart Microsoft Explorer pour naviguer sur Internet.
En fait, c’est 90% des ordinateurs qui sont pré-programmé avec Explorer.
Alors lorsque vous acheter votre PC une partie des coûts vont dans le porte-feuille de Bill Gates.
Pourtant, on peut se procurer des programmes de navigation comme Firefox gratuitement et, en plus, tout le monde s’entend pour dire que ce système est plus efficace que celui de Microsoft.
Il y a OpenOffice, l’alternative au Office de Windows a été téléchargé gratuitement 50 millions de fois et c’est, aussi, un système supérieur à ses rivaux coûteux.
Alors nous sommes peut-être à l’aube des systèmes informatiques ouverts, les open source software.
Il y a encore quelques disputes sur la terminologie, certains préfèrent le terme logiciel gratuit et d’autres logiciel libre : mais en somme ces sources de logiciel sont basés sur deux principes :
Les paquets d’information doivent être gratuits à l’utilisation, quoique la vente de produits et services alliés sont tolérés;
Firefox est fourni par Mozilla qui en retour génère des fonds à partir de dons à la fondation Mozilla et grâce à son travail dans les entreprises.
Le deuxième principe du logiciel ouvert c’est la production participative.
Les individus sont donc encouragés à changer et à adapter les produits…un principe à la base même du développement d’Internet.
Pendant que Bill Gates est probablement l’homme le plus riche de la planète, sa fortune provient d’une toile qui a été crée gratuitement.
Et là les économistes orthodoxes ont du mal à intégrer les sources de logiciels libres dans leur calculs…Rappelons que selon eux l’avarice est une bonne chose!
Expliquer pourquoi des choses sont faites gratuitement c’est assez difficile pour une discipline où on a toujours insisté pour dire que les humains ne sont motivés que par le gain matériel…
Avec les sources ouvertes les gens semblent se satisfaire de produire des choses juste parce que c’est satisfaisant.
Ce partage social démontre bien qu’il est possible d’échanger à l’extérieur des institutions du marché et de l’état.
Il y a des implications progressives aussi.
Le marché est basé sur le principe de la conversion de choses qui était auparavant gratuites et que l’on a converti en commodités payables.
Un très bon exemple est l’intention des géants de l’agro-business de prendre possession du marché des semences…de transformer une ressource gratuite que les fermiers se partageaient en objet à profits.
Donc contre les sources de logiciels libre il existe des entreprises qui enferme du code de programmation dans leur boîte à propriété intellectuelle.
Les sources de logiciels libres ou gratuits défi cette approche et nous ramène à la propriété commune.
D’autant plus que le partage et la communauté peut faire en sorte que non seulement le produit va durer, mais qu’il s’améliorera avec la contribution participative de passionnés.
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